L’andalouse

Arènes de Seville. On ne sait pas ce qui coule et traverse les yeux de la belle sévillane. Une indifférence cependant concentrée au spectacle ? Un suspens expressif lorsqu’elle fixe le matador, juste à l’instant de l’estocade ? Un oeil a l’air inquiet, l’autre glouton. On donne celle en noir et blanc ci-dessous, dont on dit qu’elle « dramatise ». Pas ici, la fille existe dans tous ses états.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *