Kyoto. Voici une image que, curieusement, mes amis végétariens me demandent d’encadrer, pour la poser sur leur bureau.
Je pourrais, ici, gloser facilement sur « Sociologie des comportements et prévisibilité ». Mais je m’abstiens. Juste quelques mots, sans ironie, bien sûr. Pour dire que l’Asie devient « végétale ».
L’Asie, évidemment, charrie mille philosophies ou croyances, qui ne seraient pas religion, en phase avec les recherches effrénées du développement de soi, en vogue dans les villes embouteillées, désormais encombrées de restaurants asiatiques dans lesquels les légumes trônent sur les comptoirs.
Le « vegan » trouve, presque inexorablement, dans les préceptes précités de quoi structurer une pensée adéquate avec sa pratique culinaire.
Mais je m’éloigne ici, malencontreusement, de l’image en entrant dans le « sociétal » alors que je voulais simplement affirmer que l’Asie devenait véritablement végétale. C’est certainement la parenté des deux mots qui a provoqué cette déviation.