Kyoto. La femme semble sortie d’un film japonais d’après-guerre ou d’une pellicule Kodak de la même époque. Son allure et son visage sont cinématographiques.
Mais, en réalité, ce qui me ramène à la photo, j’ose le dire, c’est l’ombre du photographe sur la tunique illuminée. C’est moi, donc.
Un djinn de l’ombre m’a projeté dans la photo. J’aurai du m’approcher plus encore, pour être plus au centre. Non, ce n’est pas un tourment de l’ego. Juste le cadrage. Une obsession, peut-être une coquetterie…